Une exposition d'art contemporain sur la diversité des mondes créoles dans un espace scénographié de 2800 m2 au cœur de la Grande Halle. Guadeloupe, Guyane, Haïti, Jamaïque, Martinique, Île Maurice, Porto Rico, République Dominicaine, La Réunion, Trinidad. Que signifie être caribéen, caribéen-haïtien, caribéen-jamaïcain, ou encore français de Martinique, de la Réunion ou de Guyane ? Au-delà d'une histoire commune marquée par la traite, l'esclavage et la colonisation, comment penser ces multiples identités ? Pour la première fois, une exposition d'art contemporain rassemble des artistes autour de ce thème.
Dans la nef de la Grande Halle, sur le site même de l'exposition Kréyol Factory, Mizik Factory propose trois grands week-ends pour découvrir les rythmes, les styles et les couleurs des musiques caribéennes et de la Réunion.
Trois grandes figures de la scène musicale des Antilles françaises
Valérie Louri (Martinique) Le bélé est sa source de réflexion et d'inspiration, une revendication identitaire et militante qui fonde son parcours artistique de chanteuse et de danseuse.
Soft (Guadeloupe) Trait d'union entre les générations, avec des compositions jazz et des rythmes du gwo-ka, Soft compose aussi pour des réalisateurs militants come Euzhan Palcy (Parcours de dissidents) ou Antoine Léonard-Maestrati et Michel Reinette (L'avenir est ailleurs).
Malavoi (Martinique) Ce groupe de référence de la musique martiniquaise depuis plus de vingt ans mêle les mazurkas, biguine, quadrille... à de nouvelles influences dont la salsa et même le jazz.
La "nuit du Kompa" au cours de laquelle Tabou Combo fêtera avec Ti Kabzy ses quarante ans de scène
Tabou Combo (Haïti) se proclame l'ambassadeur du kompa, ce rythme typique d'Haïti qui se chante en français, en anglais, en espagnol et en créole.
Ti Kabzy (Haïti) Ce groupe haïtien évolue depuis 1989 sur la scène artistique montréalaise. Ti Kabzy a développé un style inspiré d'un amalgame de musique antillaise, pop, rock, hip hop et même country. Il maîtrise également plusieurs autres styles, tels que le rara, la salsa, le meringué, le zouk, le ragga et reggae.
Nég'marrons (France) qui célèbre ses dix ans de carrière, accueille ses compagnons de route mêlant le hip hop, le dub, la salsa, le reggae, le rap, styles musicaux issus des cultures urbaines.
Blacko (France) Après ses débuts au sein du collectif "Comité de Deuil" (en banlieue parisienne), il abandonne le rap pour se consacrer entièrement au ragga/reggae tout en conservant sa verve militante.
Jamadom (France) Auteur, compositeur, interprète, il fait ses premiers pas dans le reggae dancehall en 1992 puis il tente une synthèse entre musique jamaïcaine et guadeloupéenne, synthèse que son nom exprime : Jama (Jamaïque), dom (DOM, Département Outre Mer).
Mo'kalamity (France) "Vibes" jamaïcaines, soul, musiques afro-américaines, constituent l'inspiration de cette artiste hybride, dont les origines cap-verdiennes et un profond sentiment d'empathie pour la douleur de Mère Afrique, sont sans conteste les signes distinctifs.Photo Plátano Pride © Miguel Luciano / Conception graphique Laetitia Ballesteros
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